Début juin, le laboratoire a d’ailleurs lancé une cellule d’innovation qui a pour but de penser et tester des outils prédictifs qui feront avancer la modernisation du processus judiciaire dans la lignée de ses travaux de recherche.

« Nous avons commencé un nouveau cycle de recherche en IA », explique l’avocat Valentin Callipel, chargé de mission au laboratoire de cyberjustice créé en 2010.

Il rassemble 36 chercheurs des États-Unis, du Canada, d’Australie et d’Europe qui « s’intéressent à l’incidence de la technologie sur la justice et comment cela peut améliorer l’accès à la justice », dit-il.

L’équipe est multidisciplinaire, puisqu’elle se compose de chercheurs en sociologie, et en anthropologie, d’informaticiens, de spécialistes de la gestion du changement, etc.

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